Page:Aristote - La Morale d’Aristote, Ladrange, 1856.djvu/1534

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��TABLE ALPHABÉTIQUE

��N, IV, 8, 1, n. — Cité, N, V, 3, 13, n. — Cité,N, V, 7, U,n. — Flétrit le suicide, N, V, 11, l,n.

— Cité, N, V, 11, 3, n. — Cité, N, VI, 10, 10, n. — Cité, N, VI, 5, 8, n. — Les étymologies qu'il donne dans le Cratyle ne valent rien, N, VII, 11, 2, n. — Cité, N, VII, 11, 10, 71. — Cité, N, VIII, 7, 2, n. — Cité, N, VII, 2, 1,71. — Sa théorie sur la vertu citée, N, VII, 2, 2, n. — Cité, N, VII, 2, 10, n. — Objection contre sa doctrine, N, VII, 2, 10. — Condamne le suicide, 1\,1II, 8, 13, 71. — Cité, N, VIII, 9, 5, 7i.

— Sublimité de sa théodicée, N, VIII, 12, 5, n. — A trop souvent sacrifié l'individu à l'État, Id., ibUL, 7, n. — Ses principes sur la nature de l'homme, N, IX, h, 5, n. — Cité par Aristote, N, X, 2, 3. — A peut-être eu en vue dans le Philèbe de réfuter Eu- doxe, N, X, 2, 13, n. — Citant Théognis, N, X, 10, 3, n. —Exa- gère l'influence de la loi sur l'individu, N, X, 10, 9, n. — Ses travaux en morale, G, 1, 1. 8. — ( ) et Socrate défendus contre Aristote, G, 1, 1, 7, ?i.— Critiqué par Aristote, G, I, 1, 10 et suiv., n. — Sens qu'il donne au mot de colère. G, I, 11, 2, n. — A eu raison de faire une théorie gé- nérale du bien, G, 1, 1, 17, tj.— Cité sur le bien, mobile de l'homme. G, I, 18, 1, n. — Cri- tiqué indirectemenl par Aris-

��tote, G, I, 22, n. — A fondé sa république sur l'égalité propor- tionnelle, G,I, 31, 8, — Une de ses théories politiques critiquée, G, I, 31, 8, n. — Indiqué, G, II, 9, 2, n. — Ici, ibid., 10, «. — Id.,îbid., 27, ?i. — Id., ibid. 30, w. — Cité, E, I, 8, 1, n, — Indi- qué, E, I, 6, 3, 71. — Défendu contre Aristote, E, I, 8, 3, 7i. — Indiqué, E, I, 8, IZi, 7i. — Indi- qué, E, I, 8, 11 et 12, n. — Ci- té, E, II, 7, h, 71. — A cru peut- être aux devins, E, II, 8, 21, n. — Indiqué sans être nommé, E,

II, 11, 1, 71.

Platon, Ses hésitations sur la liberté, Pr. lxv. — Exposé de sa doctrine morale, Pr. xlvii et suiv. — Inséparable de Socrate moralement, id., ibid. — Cité, Pr. L et suiv. — Est peut-être l'inventeur de l'optimisme, Pr. cxxv. — Moins mystique qu'A- ristote, Pr. cxlix. — Respecte les croyances populaires, Pr. cxxiii. — Comparé à Kant et à Aristote, Pr. ccvi. — Le plus grand des moralistes, id., ibid. ■ Pleurésie, sa gravité, N, V,

II, 8.

Plotin, cité, Pr. ccLxxur. Pll'tarque, Cité, N, IX, 1, h, 71. — Cité sur Thémistocle, E,

III, 6, h, n.

Plutus d'Aristophane cité, N,

IV, 8, 6, 11.

Pleurs, les ( ) sont un signe de failjlesse, N, IX, 11, /j.

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