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l’homme vicieux est inconstant, la nature elle-même a besoin de changement, parce qu’elle n’est pas simple, ni vertueuse.
Nous avons donc traité de la tempérance et de l’intempérance, du plaisir et de la douleur ; nous avons dit ce qu’est chacune des ces affections, ou manières d’être, et comment les unes sont des biens, et les autres des maux. À présent nous parlerons aussi de l’amitié.
la même pensée dans sa Rhétorique (l. i, c. 11). Voyez aussi Eudem. l. 7, c. 1.