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Page:Aristote Metaphysique 1840 2.djvu/159

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LA
MÉTAPHYSIQUE D’ARISTOTE.


LIVRE ONZIÈME.
(Κ.)


SOMMAIRE DU LIVRE ONZIÈME.
I. Difficultés relatives à la philosophie. — II. Quelques autres difficultés. — III. Qu’une science unique peut embrasser un grand nombre d’objets, et d’espèces différentes. — IV. La recherche des principes des êtres mathématiques est du ressort de la philosophie première. — V. Il est impossible que dans le même temps la même chose soit et ne soit pas. — VI. De l’opinion de Protagoras, que l’homme est la mesure de toutes choses. Des contraires et des opposés. — VII. La Physique est une science théorétique, et comme elle, la Science mathématique et la Théologie. — VIII. De l’être accidentel. — IX. Le mouvement est l’actualité du possible en tant que possible. — X. Un corps ne peut pas être infini. — XI. Du changement. — XII. Du mouvement.

I.

La philosophie est une science des principes ; cela résulte évidemment de la discussion que nous avons établie en commençant, relativement aux opinions