Page:Arjuzon - Une seconde mère, 1909.djvu/121

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Jacques, rayonnant.

Veux-tu, Gina, que je le raconte une histoire ?

On lui avait recommandé de ne jouer à rien de ce qui pourrait fatiguer sa sœur.

Gina.

Oui, oui, Jacques, tu serais bien gentil, car moi, vois-tu, je n’ai plus la force de parler. Je t’écouterai avec plaisir et cela m’amusera beaucoup.

Jacques commença donc.