Page:Arnal - La Maison de granit, Plon-Nourrit.djvu/186

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Quand je ne serai plus, tant de douleur soufferte
Fleurira la demeure où j’ai pleuré sur toi…
S’il te faut un abri, franchis la porte ouverte :
La Maison de granit est tienne, comme moi.