Page:Arnal - La Maison de granit, Plon-Nourrit.djvu/36

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Maintenant, inclinés sur le bord de la route,
À l’heure où vient la nuit que tout être redoute,
Ils semblent compatir aux fatigues, aux pleurs…

Et le passant lassé qui, dans l’ombre, chemine,
Les regardant ainsi, calmes et beaux, devine
Qu’ils savent le secret des fécondes douleurs.