Page:Arnal - La Maison de granit, Plon-Nourrit.djvu/78

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J’ai dit à ma maison tranquille : Me voilà !
Comme je serai bien dans cette solitude
Pour attendre la mort après le chemin rude…

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . .


Je me suis retournée, et ton ombre était là !