Page:Arnaud - De la frequente communion, 1643.djvu/465

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d’elle dans le des Elle descomrit sablessure à tout fJon est confus* J J . u . Dominum m

/e monde, 0 Rome Voyantla playequi L auoit deji - «ms : & ìiic eam . f 1 r r~.ii 11 non confundecur

guree, pleura fon mal-heur. tueparut auec des ha- mcœio. Aperuit bits dechirez, la tefle me, la boucbe ſermee. Elle ſuTm’&decoîorc ríentra point dans l’Egltſ duSeigncur, mais demeu- ^ d c emPfl en s raborsdu Camp ſeparee des autres comme Marie maconſpexit. Sceur de Moyſe, attendant que le Prestre qui /’auoit iatera,nudum camiſe dehors, laststreuenir. Elle deſcendit duTroſ ne de ſes delices, Elle tourna la meulepour moudre le JJg bled. felon le lanrare ſtruré de l’Eſcriture : Elle paffa “st1-1 cum Maria / 66 5 J > r U lorore Moysi sc-

courageujement,0 lespieds nuds le torrentdes lar- parata conscdit : mes -, Elle saſit ſur les charbons de ſeu , dont le P ropheteparle, 0 ils luy ſeruirent d conſumer fon Peché : Elle ſe frappoit le viſtge, d cauſe quil auoit pleu d ſonſecond mary,Elleh disoitſes Diamans,0 ſes Perles -, Elle ne pouuoit plus Voìr ſonbeau linge 0 rejettoit toutes les choſes dont elle ſeſeruoit autre- rúp^carbonſ/ fois pour ſe parer. Enfin elle ne fait pas moins affH- ?gnis, ;hi ei herc r n a - 11 11 r r in adratwium’

gee, queJi elle eustcommis vn adultere, 0 elleſejer- Fadem per quam uoit deplusteurs remedes pour guenr Vneſeuleplaye. ſſſ °Vcrbera-a*

Considerez cét exemple, et jugez s’il donne sujet de persuader à tant de fornicateurs, et d’adulteres, qui se rencontrent en ce siecle corrompu, qu’ils n’ont pas besoin de faire penitence avant que de communier. En second lieu, il ne faut pas icy confondre, comme plusieurs font, la penitence publique avec la confession publique. Il n’est point necessaire pour faire penitence publique, de faire devant tout le monde une confession de ses