Page:Artaud - Artaud le Mômo, 1947.djvu/61

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Pas de tutoiement, ni de copinage,
jamais avec moi,
pas plus dans la vie que dans la pensée.

Et je ne sais pas si ce n’est pas en rêve
que j’entends la fin de sa phrase :
« et quand on est si bon, si bon ; dame, on
surpaye son renom. »