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notes

Ces deux ſonnets ſont dans Les Princeſſes. Celui de Paſiphaé eſt accompagné de cette épigraphe :


Hic crudelis timor tauri, ſuppoſtaque furto
Paſiphaë…

(Virgile. Énéide, livre vi.)


& celui de La Reine de Saba, de celle-ci : « Sa robe en brocart d’or, diviſée régulièrement par des falbalas de perles, de jais & de ſaphirs, lui ſerre la taille dans un corſage étroit, rehauſſé d’applications de couleur, qui repréſentent les douze lignes du Zodiaque. Elle a des patins très hauts, dont l’un eſt noir & ſemé d’étoiles d’argent, avec un croiſſant de lune ; — & l’autre, qui eſt blanc, eſt couvert de gouttelettes d’or avec un ſoleil au milieu. » (G. Flaubert, La Tentation de ſaint Antoine.)


Sonnet 102.

Louis Ménard. Rêveries d’un païen myſtique. Paris. Alphonſe Lemerre. 1886.


Sonnet 103.

Poéfies de André Lemoyne. 1871-1883 (I. Légendes des Bois & Chanfons marines. II. Payſages de Mer & Fleurs des Prés. III. Soirs d’Hiver & de Printemps). Paris. Alphonſe Lemerre, 1883.

Ce ſonnet, qui ſe trouve dans Soirs d’Hiver & de Printemps, eſt dédié À Duplais Deſtouches.


Sonnet 104.

Pages intimes. Poéſies, Par Eugène Manuel. Paris. Michel Lévy frères. 1866.