Ces deux ſonnets ſont dans Les Princeſſes. Celui de Paſiphaé eſt accompagné de cette épigraphe :
Hic crudelis timor tauri, ſuppoſtaque furto
Paſiphaë…
& celui de La Reine de Saba, de celle-ci : « Sa robe en
brocart d’or, diviſée régulièrement par des falbalas de perles,
de jais & de ſaphirs, lui ſerre la taille dans un corſage étroit,
rehauſſé d’applications de couleur, qui repréſentent les douze
lignes du Zodiaque. Elle a des patins très hauts, dont l’un
eſt noir & ſemé d’étoiles d’argent, avec un croiſſant de lune ;
— & l’autre, qui eſt blanc, eſt couvert de gouttelettes d’or
avec un ſoleil au milieu. » (G. Flaubert, La Tentation
de ſaint Antoine.)
Louis Ménard. Rêveries d’un païen myſtique. Paris. Alphonſe Lemerre. 1886.
Poéfies de André Lemoyne. 1871-1883 (I. Légendes des Bois & Chanfons marines. II. Payſages de Mer & Fleurs des Prés. III. Soirs d’Hiver & de Printemps). Paris. Alphonſe Lemerre, 1883.
Ce ſonnet, qui ſe trouve dans Soirs d’Hiver & de Printemps, eſt dédié À Duplais Deſtouches.
Pages intimes. Poéſies, Par Eugène Manuel. Paris. Michel Lévy frères. 1866.