Page:Asselineau - Le Paradis des gens de lettres, 1862.djvu/53

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VI

Et quand la nuit se fut dissipée, je vis dans les mêmes habitations les bienheureux se livrer au travail quotidien. Et chacun d’eux s’y livrait différemment, suivant son goût et son génie.

Les uns se tenaient seuls assis devant une table ; d’autres se promenaient le long de vastes galeries. Et j’admirai comment, sans le secours de plumes ni d’encre d’au-