Page:Assollant - Aventures merveilleuses mais authentiques du capitaine Corcoran, I.djvu/189

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Enfin Louison veillait, ou si elle dormait c’était d’un œil, comme les chats, ses cousins germains ; et l’autre œil, à demi ouvert, distinguait les plus petits objets dans l’épaisseur des ténèbres. Enfin, à défaut de ses yeux, ses oreilles entendaient jusqu’au moindre son.

C’est pourquoi, voyant que tout était tranquille, et que Sita elle-même succombait à la fatigue, Corcoran s’étendit sur une natte et dormit jusqu’au jour.