(s’il doit y avoir insurrection) leurs chefs et leurs armes.
au prince Holkar.
« Le soussigné se fait un devoir de prévenir Son Altesse le prince Holkar qu’il est venu à sa connaissance que ledit prince a fait donner cinquante coups de bâton à son premier ministre Rao, sans qu’aucune action, connue du soussigné, ait pu valoir un traitement aussi cruel ;
« Le soussigné doit aussi prévenir Son Altesse que, à plusieurs reprises, des charrettes pesamment chargées sont entrées pendant la nuit dans la forteresse de Bhagavapour, et que, à divers indices sur lesquels il ne croit pas nécessaire de s’expliquer, il a cru reconnaître des amas d’armes, de vivres et de munitions, ce qui est contraire aux traités et ne peut qu’exciter les justes soupçons de la très-haute et très-puissante Compagnie des Indes ;
« En conséquence et après avoir pris les ordres du gouverneur général, le soussigné, — sans vouloir dépouiller le prince Holkar d’une autorité