Page:Assollant - Aventures merveilleuses mais authentiques du capitaine Corcoran, II.djvu/154

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d’un héros et d’un vengeur, se sont précipités sur moi. Enfin si les Anglais avaient attendu encore trois ou quatre ans, leur ruine était certaine, car toute l’Inde aurait été en armes et sous mes ordres.

— Oui, mais ils connaissent tes desseins, et ils vont te prévenir. Tu as vu la lettre de ce coquin de Doubleface ?

— Celui-là du moins payera pour tous, dit Corcoran. Demain matin, après déjeuner, je te promets un spectacle amusant. »