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XIV
La mort d’un coquin.
« Monsieur Doubleface, continua Corcoran, vous avez le poignet solide ? »
L’Anglais fit un signe affirmatif.
« Vous avez les reins solides ? »
Même signe.
« Vous connaissez le maniement du sabre ?
— Oui, dit encore Doubleface.
— Très-bien, dit Corcoran. Et toi, ami Baber, quelle est l’arme que tu préfères ?
— Seigneur, répliqua Baber, ma religion me défend de verser le sang des hommes, mais elle me permet de les étrangler.
— Eh bien, homme pieux, tes désirs et ceux de ce gentleman vont être satisfaits. Qu’on donne