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publique et le dévouement d’une généreuse résignation ont été plus puissants que la force des armes pour sauver la fortune de l’État, et pour lui faire supporter le fardeau de la double invasion étrangère qui a pesé sur la France en expiation de sa gloire.
Ainsi se sont immatriculés sur le grand-livre des 5 p. 0/0 :
L’arriéré créé avant 1810, pour | 2,129,867
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Celui qui s’est formé de 1810 à 1816, pour | 29,186,921
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Le remboursement des biens des communes, et donné par la loi du 20 mars 1813 |
2,632,448
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Les droits de la Lésion d’honneur | 240,000
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Ceux de quelques titulaires de cautionnements | 2,684
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Enfin les dépenses relatives aux invasions étrangères | 95,782,545
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Cet accroissement de | 129,974,438
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de rentes a élevé la dette annuelle léguée par les temps difficiles aux jours réparateurs à la somme de | 193,456,374
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Les engagements personnels contractés dans l’exil du roi Louis xviii, et l’expédition d’Espagne y ont ajouté | 5,499,654
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Et ont porté les émissions de ces fonds avant 1830, à | 198,956,028
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Les annulations prononcées par les lois, les rachats successifs de l’amortissement et la conversion des rentes 5 p. 0/0 en valeurs nouvelles d’un Intérêt moins élevé, avaient déjà retranché de cette dette | 72,248,020
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et réduit son ensemble à | 126,708,008
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lorsque les besoins extraordinaires des exercices et 1832 sont venus s’inscrire pour | 18,779,016
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