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Firmin me souffla :
— Tu vois, ils restent amis, et ils ne nous abandonnent pas.
Cependant, à l’heure de la séparation, mon père en me retenant tout contre son cœur me dit :
— Garde toujours les jumeaux auprès de toi.
Et ma mère tout en pleurs, et qui semblait ne pouvoir se séparer des deux petits me dit à son tour :
— Aime-les bien, Annette, et veille sur eux comme une mère.