Page:Augagneur, Erreurs et brutalités coloniales, Éditions Montaigne, 1927.djvu/126

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entre Betroky et Tsivory, mais cette indication, non confirmée, demeura incertaine.

Après sa fuite de Papanga, Kotavy vit se fondre la troupe de ses partisans. Isolé, il erra de village en village, dans un pays dont il connaissait tous les détours, jusqu’au jour, nous le verrons plus loin, où il tomba aux mains des troupes françaises.