permettre, et tout ce que vous me dites, madame, me prouve d’autant plus que mon choix est parfait.
Votre choix ? Je me suis bien mal expliquée si vous gardez encore quelque espoir.
Il n’est pas fondé sur mon mérite, — mais sur un événement très prochain qui m’apportera un puissant auxiliaire.
La mort de votre oncle ?
Le mariage de mademoiselle Clémentine.
Je ne vois pas quel auxiliaire…
Votre isolement. La vie que vous menez est charmante : vous avez une fille de votre âge, qui est votre meilleure amie ; mais le jour où elle vous quittera…
Elle ne me quittera jamais ; c’est toute ma vie, cette enfant-là !
Vous vous arrangerez donc de vivre dans la maison de votre gendre !
Non pas ! c’est lui qui vivra dans la mienne.
Vous l’y obligerez par contrat ?