Je le tiens pour mon ennemi personnel.
Quelle erreur ! il a gardé de vous les meilleurs souvenirs. Je sais qu’il y a eu un peu de froid à la fin de vos relations, mais il espère bien vous revoir un jour ou l’autre.
Elle m’écrase.
À propos, je vous dois des remerciements ; votre chronique des salons a achevé de dissiper ma migraine. Il y a une histoire de chien compromettant qui m’a fait rire aux larmes.
Voilà le coup de grâce.
Je suis heureux que vous ayez pris cette mauvaise plaisanterie pour ce qu’elle vaut. J’expliquais tout à l’heure à madame d’Isigny que l’article a passé à mon insu, et je me préparais à vous en faire mes très humbles excuses.
Insolent !
Vous êtes un lâche, monsieur ; vous insultez une femme que personne n’a le droit de défendre, personne !