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serait ! Ils sont charmants tous les deux, ils se voient tous les jours ; comment veux-tu qu’ils ne finissent pas par s’aimer ?
André.
Raison de plus alors pour emmener Aline.
Tenancier.
Pour nous la laisser ! À moins que tu ne répugnes à donner ta sœur à ton ami. Quant à moi, ce mariage comblerait tous mes vœux.
André.
Ce mariage est impossible.
Tenancier.
Impossible ?
André.
Vous le savez bien.
Tenancier.
Qu’est-ce donc qui peut s’y opposer ?
André.
Mon père.
Tenancier.
Ton père ? Voyons, parle. Que sais-tu ? que crois-tu savoir ?
André.
Ne laissez donc pas traîner vos lettres.
Il lui donne la lettre du quatrième acte.
Tenancier, après y avoir jeté les yeux.
Mon pauvre enfant ! comme tu dois souffrir !