Page:Augustin - Œuvres complètes, éd. Raulx, tome III.djvu/605

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
Chap. XVII. Il est de hautes questions que l’on ne peut aborder sans s’y être préparé par l’étude des sciences libérales.
XVIII. Comment l’âme arrive-t-elle à se connaître et à connaître l’unité ? Tout tend à l’unité.
XIX. Ce qui élève l’homme au-dessus de la brute. — Comment l’homme peut voir Dieu.
XX. Conclusion et exhortation à la vertu.


CONTRE LES ACADÉMICIENS.
Traduction de M. ADRIEN DE RIANCEY.
LIVRE PREMIER.
Chapitre premier. Saint Augustin exhorte Romanien à l’étude de la vraie philosophie.
II. Première discussion. — Est-il nécessaire pour être heureux de connaître ou seulement de chercher la vérité ?
III. On défend l’opinion des académiciens qui prétendent que le bonheur consiste dans la recherche de la vérité.
IV. Ce que c’est que l’erreur.
V. Seconde discussion. — Qu’est-ce que la sagesse ?
VI. Troisième discussion. — Définition de la sagesse. — Objection. Le devin Albicère.
VII. On soutient la définition de la sagesse.
VIII. Le devin est-il un sage ? — Qu’est-ce qu’un sage ? — Définition de la sagesse conformément à l’opinion des académiciens.
IX. Conclusion.


LIVRE DEUXIÈME
Chapitre premier. Le secours de Dieu est nécessaire pour combattre les arguments des académiciens.
II. Augustin rend à Romanien ses devoirs de reconnaissance, et l’exhorte à la philosophie.
III. Philocalie et philosophie : Augustin excite de nouveau Romanien à la philosophie.
IV. Première discussion. — On rappelle les points discutés dans le premier livre.
V. Sentiments des académiciens.
VI. Deuxième discussion. — Différence entre l’ancienne et la nouvelle académie.
VII. Contre les académiciens.
VIII. Subtilité des académiciens.
IX. Examen plus sérieux de l’opinion des académiciens.
X. La controverse avec les académiciens ne roule pas sur les mots, mais sur les choses.
XI. Troisième discussion. — Qu’est-ce que la probabilité ?
XII. Encore du probable et du vraisemblable.
XIII. Les académiciens ont-ils feint de ne pas connaitre la vérité ?


LIVRE TROISIÈME.
Chapitre premier. — Première discussion. — Il faut chercher avec grand soin la vérité ; c’est d’elle que dépend la vie heureuse.
II. Si la fortune est nécessaire au sage.
III. Quelle différence entre le sage et celui qui veut l’être ? Le sage connaît quelque chose : il connaît au moins la sagesse.
IV. Seconde discussion. — Celui qui ne sait rien ne peut être appelé sage.
V. Vains subterfuges des académiciens.
VI. La vérité ne peut être connue que par le secours divin.
VII. Augustin, sur la demande d’Alype, parle contre les académiciens : plaisante citation de Cicéron.
VII. Réfutation du passage de Cicéron.
IX. On discute la définition de Zenon.
X. Deux axiomes des académiciens.
XI. Ni la faiblesse des sens, ni le sommeil ou la fureur, ne rendent impossible la connaissance de quelque vérité.
XII. Les académiciens allèguent vainement les séductions des sens, du sommeil ou de la fureur.
XIII. On connaît beaucoup de choses dans la dialectique.
XIV. Le sage doit donner son assentiment au moins à la sagesse.
XV. Est-ce éviter l’erreur que de suivre en pratique un sentiment probable sans y donner son assentiment ?