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TABLE DES MATIÈRES.
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LIVRE SECOND.
Des Mœurs des Manichéens.
Chapitre premier. Le souverain bien est le souverain Être.
II. Nature du mal.
III. Autre définition du mal.
IV. Différentes espèces de bien.
V. Troisième définition du mal.
VI. Ce qui peut être soumis à la corruption.
VII. Rien ne se corrompt entièrement, grâce à la bonté de Dieu.
VIII. Le mal n’est point une substance.
IX. Inanité des fables manichéennes.
X. Des signes de moralité chez les manichéens.
XI. Du signe de la bouche. — Blasphème des manichéens contre Dieu.
XII. Toute issue fermée aux manichéens.
XIII. On doit juger l’intention et non les faits.
XIV. Trois causes louables de l’abstinence.
XV. Pourquoi les manichéens interdisent l’usage des viandes.
XVI. Mystères des manichéens.
XVII. Du sceau des mains.
XVIII. Le sceau du sein. — Infâmes mystères des manichéens.
XIX. Crimes des manichéens.
XX. Ces mêmes crimes découverts à Rome.


DE LA VRAIE RELIGION.
Traduction de M. l’abbé JOYEUX.

Chapitre premier. Les philosophes enseignaient dans leurs écoles ce qu’ils ne pratiquaient pas dans les temples.
II. Socrate et Platon n’ont pu faire adopter leurs idées sur Dieu.
III. La religion chrétienne apprend aux hommes ce que Platon ne crut pas possible d’enseigner.
IV. Combien sont dignes de mépris les philosophes qui n’embrassent pas la vraie religion.
V. Où chercher la vraie religion ?
VI. Elle fait servir à son développement ceux mêmes qui sont égarés, et ceux qui se trouveraient injustement bannis de son sein.
VII. Il faut embrasser la religion catholique. — Quelles sont les premières vérités qu’elle enseigne ?
VIII. De la religion ; comment nous en avons l’intelligence, pour réfuter les hérétiques.
IX. C’est surtout contre les manichéens que cet écrit est dirigé ; court exposé de leurs erreurs.
X. Ce qui nous détache de Dieu ; ce qui nous ramène à lui.
XI. Toute vie vient de Dieu. — Le crime est la mort de l’âme.
XII. Chute et réparation de l’homme tout entier.
XIII. Les bons anges et les anges mauvais.
XIV. Le péché vient du libre arbitre.
XV. La peine du péché nous apprend à devenir meilleurs.
XVI. Bienfaits immenses de l’incarnation du Verbe.
XVII. L’enseignement de la vraie religion est contenu avec un enchaînement parfait dans l’Ancien et le Nouveau Testament.
XVIII. Pourquoi les créatures sont-elles muables ?
XIX. Ce qui peut être vicié est bon, sans être souverainement bon.
XX. Comment l’âme peut être viciée.
XXI. L’âme se laisse séduire par la beauté corporelle qui ne fait que passer.
XXII. Les impies seuls condamnent l’ordre établi par la Providence.
XXIII. Toute substance est bonne en elle-même.
XXIV. Deux moyens offerts à l’homme pour l’aider à son salut : l’autorité et le raisonnement.
XXV. Quels hommes, quels livres doivent nous servir de guides.
XXVI. Dans les progrès de l’homme charnel et de l’homme spirituel la vie peut être partagée en sept âges.
XXVII. La vie du vieil homme et de l’homme nouveau se retrouvent dans la vie de l’humanité tout entière.
XXVIII. L’enseignement proportionné à la capacité du peuple.
XXIX. Autre moyen de salut : la raison. — Comment elle guide l’homme vers Dieu. — Son témoignage l’emporte sur celui des sens.