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LIVRE II.
connaissance des signes.
Chapitre premier. — Nature du signe et de ses différentes
espèces.
—II.
— Quels signes sont l’objet de ce livre.
—III.
— La parole est au premier rang parmi les signes.
—IV.
— Origine des lettres.
—V.
— Diversité des langues.
—VI.
— Utilité qui ressort de l’obscurité des Écritures.
—VII.
— Les sept degrés qui conduisent à la sagesse.
—VIII.
— Livres canoniques.
—IX.
— Règle à suivre dans l’étude de l’Écriture.
—X.
— Obscurité de l’Écriture dans les signes qu’elle emploie.
—XI.
— La science des langues nécessaire pour l’intelligence des signes.
—XII.
— Utilité des différentes interprétations.
—XIII.
— Comment il faut corriger un défaut des traduction.
—XIV.
— Sources où l’on doit puiser la connaissance des termes et des locutions inconnues.
—XV.
— Excellence de la version Italique et de celle des Septante.
—XVI.
— Utilité de la connaissance des langues, de la nature des nombres et de la musique pour l’intelligence des signes figurés.
—XVII.
— Origine de la fable des neuf Muses.
—XVIII.
— Ne pas mépriser ce que les profanes ont de bon et d’utile.
—XIX.
— Deux sortes de science parmi les païens.
—XX.
— Sciences humaines remplies de superstitions.
—XXI.
— Superstitions des astrologues.
—XXII.
— Vanité des prédictions fondées sur l’observation des astres.
—XXIII.
— Pourquoi il faut rejeter les sciences des astrologues.
—XXIV.
— Tout usage superstitieux suppose le commerce avec les démons.
—XXV.
— Les institutions humaines exemptes de superstitions sont en partie superflues et en partie utiles et nécessaires.
—XXVI.
— Institutions humaines à rejeter ; celles qu’il faut adopter.
—XXVII.
— Sciences qui ne sont pas d’institution humaine.
—XXVIII.
— Utilité de l’histoire.
—XXIX.
— Utilité de la connaissance des animaux, des plantes, des arbres, pour l’intelligence de l’Écriture.
—XXX.
— Utilité des arts mécaniques.
—XXXI.
— Utilité de la dialectique.
—XXXII.
— D’où provient la logique dans les conclusions.
—XXIII.
— Conséquences vraies de propositions fausses, et conséquences fausses de propositions vraies.
—XXXIV.
— Connaissance des règles, des conséquences et de la vérité des propositions.
—XXXV.
— Science de la définition et de la division des choses, vraie en elle-même.
—XXXVI.
— Mêmes observations sur les règles de l’éloquence.
—XXXVII.
— Utilité de la rhétorique et de la dialectique.
—XXXVIII.
— Origine de la science des nombres.
—XXXIX
— Sciences auxquelles on peut s’appliquer.
—XL.
— Il faut profiter de ce que les païens ont de vrai.
—XLI.
— Dans quel esprit il faut étudier l’Écriture.
—XLII.
— Différence entre les livres saints et les livres profanes.
LIVRE III.
obscurités de l’écriture.
Chapitre premier. — Objet de ce livre.
—II.
— Ambiguïté qui nait de la division des termes.
—III.
— Incertitude qui nait de la prononciation.
—IV.
— Ambiguïté qui provient des paroles.
—V.
— Ne pas prendre à la lettre les expressions figurées.
—VI.
— Utilité des figures pour les Juifs.
—VII.
— Culte des idoles et des créatures.
—VIII.
— Les Juifs et les Gentils affranchis différemment, de la servitude des signes.
—IX.
— Comment on est esclave des signes.
—X.
— Comment reconnaître une expression figurée.
—XI.
— Règle pour juger ce qui, dans l’Écriture, présente un caractère de sévérité.
—XII.
— Règle pour juger des actions qui paraissent criminelles.
—XIII.
— Suite du même sujet.
—XIV.
— Erreur de ceux qui ne croient pas à la justice absolue.
—XV.
— Règle pour les expressions figurées.
—XVI.
— Des passages qui renferment quelque précepte.
—XVII.
— Il y a des préceptes communs à tous, d’autres qui sont particuliers.
—XVIII.
— On doit considérer le temps où une chose a été commandée ou permise.
—XIX.
— Les méchants jugent des autres d’après eux-mêmes.
—XX.
— Continuation du même sujet.
—XXI.
— Modération de David quoiqu’il ait été adultère.
—XXII.
— Actions louées dans l’Écriture, maintenant contraires aux bonnes mœurs.
—XXIII.
— Conclusion à tirer des fautes des hommes les plus célèbres.
—XXIV.
— Examiner avant tout la nature de l’expression.
—XXV.
— Le même terme n’a pas toujours la même signification.
—XXVI.
— Les passages clairs servent à dissiper les obscurités.
—XXVII.
— Un même passage peut être interprété différemment.
—XXVIII.
— L’Écriture s’explique mieux par elle-même que par la raison.