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DU TRAVAIL DES MOINES.
Traduction de M. l’abbé COLLERY.
Chapitre premier. Arguments des moines opposants. — Textes de l’Evangile et de saint Paul sur le travail.
241
— II. Réfutation. — Il faut expliquer les paroles du Seigneur les unes par les autres ; de même, les textes de l’Apôtre.
242
— III. Saint Paul fait un précepte du travail corporel.
243
— IV. Le vrai sens de saint Paul s’explique d’après ses autres épitres.
244
— V. L’exemple de Jésus-Christ prouve que les Apôtres ont eu la permission de se faire accompagner et servir par des femmes.
244
— VI. Ce n’est pas aux seuls Apôtres, mais bien aussi à d’autres que le Christ a permis de vivre de l’Evangile.
245
— VII. La faculté de ne point travailler, accordée aux Apôtres, doit s’entendre du travail corporel.
245
— VIII. Il est évident que l’Apôtre parle du travail manuel.
246
— IX. La suite du texte rend la pensée plus évidente.
247
— X. Pourquoi saint Paul ne vit pas de l’Evangile.
248
— XI. Ici comme ailleurs, Paul obéit à un sentiment de commisération pour les faibles. — Il craint, en vivant de l’Evangile, que les faibles ne s’imaginent que l’Evangile se vend.
248
— XII. Effrayé des dangers que couraient les faibles, l’Apôtre aima mieux travailler, que de vivre de l’Evangile.
250
— XIII. Quel était le travail manuel de l’Apôtre ? Enumération des occupations honnêtes au moyen desquelles on gagne sa vie.
251
— XIV. Quelles heures l’Apôtre consacrait-il au travail ? Oisiveté des moines.
251
— XV. En recommandant le travail aux serviteurs de Dieu, Paul veut néanmoins que les fidèles pourvoient à leurs besoins. Le travail que les serviteurs de Dieu doivent préférer est celui qui n’engendre pas de soucis et s’exerce sans cupidité.
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— XVI. C’est exercer un ministère à l’égard des saints que de leur fournir les choses nécessaires à la vie corporelle en retour des biens spirituels. — Que les serviteurs de Dieu obéissent à Paul en travaillant ; et les bons chrétiens aussi, en pourvoyant à leurs besoins.
253
— XVII. Objection des paresseux : ils vaquent à l’oraison, à la psalmodie, à la lecture, à la parole de Dieu. — Il est permis de chanter des psaumes en travaillant. — La lecture ne sert de rien, si on ne la met en pratique.
255
— XVIII. Autre objection réfutée : la nécessité de dispenser la parole de Dieu. Paul avait distribué son temps entre la prédication et le travail. — La meilleure administration est celle où tout se fait avec ordre.
256
Chap. XIX. Le travail de saint Paul était vraiment un travail manuel.
257
— XX. Difficulté : les autres apôtres qui ont vécu de l’Evangile sans travailler ont-ils péché ? — Réponse : le précepte du travail regarde ceux qui n’évangélisent pas.
257
— XXI. Ceux qui veulent être oisifs sont, pour la plupart, des convertis qui menaient auparavant une vie pauvre et laborieuse.
258
— XXII. Contre les moines oisifs et bavards, dont l’exemple et la parole détournent les autres du travail.
258
— XXIII. Les paresseux entendent mal l’Evangile. — L’auteur les plaisante. — Moines qui s’enferment, pour n’être vus de personne, durant plusieurs jours. — Le précepte évangélique de ne pas songer au lendemain est en accord avec le texte de l’Apôtre.
259
— XXIV. Faire des réserves pour le lendemain n’est pas chose défendue par l’Evangile.
261
— XXV. A quoi sert-il d’avoir abandonné ses occupations antérieures, s’il faut revenir au travail ? — La charité dans la vie commune. — Il convient que ceux mêmes qui sortent d’une condition supérieure, travaillent après leur conversion ; à plus forte raison ceux qui ont quitté un genre de vie plus humble.
261
— XXVI. Comment il faut entendre la maxime : ne pas s’inquiéter de la nourriture ni du vêtement. — En quel sens faut-il prendre l’exemple des oiseaux du ciel et des lis des champs.
263
— XXVII. Il faut utiliser nos moyens, sous peine de tenter Dieu.
264
— XXVIII. Tableau frappant des moines oisifs et vagabonds.
265
— XXIX. Occupations de saint Augustin. — Il préférerait travailler comme les moines, à des heures déterminées.
265
— XXX. Il est à craindre que la paresse des mauvais ne ralentisse et ne gâte les bons.
266
— XXXI. Contre les moines à longue chevelure.
267
— XXXII. Mauvaise manière dont les moines chevelus interprètent l’Ecriture. — L’Apôtre saint Paul a fait profession d’une chasteté parfaite. — Précepte fait aux hommes de ne point se voiler la tète. — L’âme figurée par l’homme et la concupiscence par la femme.
268
— XXXIII. Certains moines chevelus, saints hommes d’ailleurs, invités il se dépouiller de leur chevelure.
269

DE LA DIVINATION DES DÉMONS.
Traduction de M. l’abbé COLLERY.
Chapitre premier. A quelle occasion fut écrit ce traité. — Ce que Dieu permet n’est pas pour cela toujours selon la loi.
271
— II. Dieu a permis, comme tout-puissant, ce qu’il désapprouvait comme infiniment juste. — Livres pontificaux qui réglaient les cérémonies profanes. — Résumé et énoncé.
272
Chap. III. La divination des démons s’explique par trois causes.
273
— IV. Dieu que les démons fassent certaines choses étonnantes, il faut les mépriser.
273
— V. D’où vient que les démons annoncent l’avenir.
274
— VI. Que, le plus souvent, les démons sont trompés et trompeurs.
275