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TABLE DES MATIÈRES.
Chapitre premier. Selon Fauste, ou les patriarches et les Prophètes ont été criminels, ou les écrivains sacrés sont des faussaires.
—II. Fauste distingue, dans la loi, les préceptes moraux et les rites qu’on y a attachés.
—III. Les écrivains de l’Ancien Testament ont souillé la mémoire des patriarches et des Prophètes.
—IV. Dieu, tel que ces écrivains l’ont dépeint, selon Fauste.
—V. Crimes attribués à Abraham, à Isaac, à Jacob, à Juda, à David, à Salomon, à Osée, à Moïse, par les écrivains sacrés.
—VI. Les Manichéens ne comprennent pas qu’une partie de la loi devait subsister et l’autre disparaître.
—VII. Leur inintelligence comparée à celle du sourd et de l’aveugle.
—VIII. Lumière incréée, lumière créée.
—IX. Dieu est lumière et source de toute lumière.
—X. Quelle est la lumière que Dieu a créée ? Question controversée.
—XI. Dieu n’a jamais été dans les ténèbres.
—XII. Comment Dieu a trouvé ses œuvres bonnes, ce que ne peut faire le dieu des Manichéens.
—XIII. Dieu a approuvé son œuvre et ne l’a point admirée. Jésus-Christ a éprouvé de l’admiration.
—XIV. Un païen pourrait retourner contre le Nouveau Testament les objections que Fauste fait contre l’Ancien.
—XV. Les Manichéens nieront-ils les textes cités ?
—XVI. Un païen ne ferait pas les objections que fait Fauste.
—XVII. Comment on raisonnerait avec lui sur la question du sacrifice.
—XVIII. Continuation du sujet. La catachrèse, usitée dans toutes les langues.
—XIX. Ce qu’on répondait au païen sur le reproche de cruauté fait à Dieu.
—XX. Comment Dieu n’épargne ni le juste ni le pécheur.
—XXI. Résumé des réponses précédentes : apostrophe aux Manichéens.
—XXII. Le Dieu des catholiques, quoique déformé par les Manichéens, vaudrait mieux que le leur. Démonstration d’après la doctrine même des sectaires.
—XXIII. Le saint justifiera les patriarches et les Prophètes.
—XXIV. Individus et nation, tout a été prophétie chez les Juifs.
—XXV. Méprise puérile de ceux qui jugent les Patriarches.
—XXVI. Question préliminaire : Ce que c’est que le péché.
—XXVII. Définition du péché. La contemplation et l’action. La vie de foi et la claire vue.
—XXVIII. Ce qui est illicite. L’homme. L’ange. Devoir de l’homme.
—XXIX. L’homme doit modérer ses jouissances. Punition de l’abus.
—XXX. Abraham et Manès jugés d’après la loi éternelle.
—XXXI. Justification de Sara, épouse d’Abraham.
—XXXII. Étourderie ou impudence de Fauste.
—XXXIII. Abraham n’a point trafiqué de sa femme.
—XXXIV. Abraham a tu la vérité et n’a point menti.
—XXXV. Usage du nom de frère et de sœur dans l’antiquité.
—XXXVI. Abraham ne voulut point tenter Dieu.
—XXXVII. Doute à l’occasion de Sara.
—XXXVIII. Côté prophétique du fait de Sara.
—XXXIX. Génération spirituelle de l’Église.
—XL. La parenté spirituelle des chrétiens.
—XLI. Ce que figuraient Loth et sa femme.
—XLII. L’inceste de Loth.
—XLIII. L’intention de ses filles.
—XLIV. L’ivresse de Loth.
—XLV. L’Écriture raconte souvent sans approuver.
—XLVI. Comment Isaac est reconnu pour époux de Rébecca. Signification mystique.
—XLVII. Jacob justifié d’avoir eu quatre femmes.
—XLVIII. Pureté d’intention chez les Patriarches comme chez les Apôtres.
—XLIX. Fauste calomnie Jacob, Lia et Rachel.
—L. Continence de Jacob.
—LI. Côté mystérieux à saisir.
—LII. Ce que représentent mystiquement Lia et Rachel.
—LIII. Elles sont l’image de la vie présente et de la vie future.
—LIV. Image aussi de la vie active et de la vie contemplative. Bala.
—LV. Ce que représente Zelpha dans le sens mystique.
—LVI. Ce que signifie la mandragore.
—LVII. Sur les contemplatifs propres à la vie active.
—LVIII. Comment ils font estimer le genre de vie qu’ils avaient d’abord choisi.
—LIX. Conclusions sur les trois Patriarches.
—LX. Il y a à louer et à blâmer dans Loth. Juda n’est loué nulle part.
—LXI. L’inceste de Juda et de Thamar.
—LXII. Souvent l’Écriture raconte sans exprimer de jugement.
—LXIII. La bénédiction de Juda.
—LXIV. Pourquoi le Christ a voulu naître de parents bons et de parents mauvais.
—LXV. Il y a à blâmer chez les bons, il y a à louer chez les méchants.
—LXVI. Éloge de David.
—LXVII. David puni dans le temps pour être sauvé dans l’éternité. Faux repentir de Saül. Il faut accepter le jugement de Dieu sur David.
—LXVIII. Tout dépend de la disposition intérieure.
—LXIX. Éloge de Moïse d’après Dieu même.
—LXX. Certains défauts sont des indices de vertu. Zèle de Moïse, de Saül, de Pierre.
—LXXI. L’ordre ou la permission de dépouiller les Égyptiens a été juste.
—LXXII. Dieu a eu ses raisons de l’accorder.
—LXXIII. Le sacrifice d’Abraham justifié par la volonté de Dieu.
—LXXIV. La guerre peut être juste.
—LXXV. C’est au roi à la commander et au soldat à obéir. Celles que Dieu ordonne sont toujours justes.
—LXXVI. Il faut supporter la guerre en vue de la vie éternelle. Les martyrs. Les princes chrétiens.
—LXXVII. Dieu a des raisons mystérieuses pour commander la guerre ou la paix.
—LXXVIII. Rien ne change pour Dieu. Iniquité dans l’homme. Action mystérieuse de la Providence.
—LXXIX. Moïse justifié d’avoir puni les adorateurs du veau d’or. Anecdote relative à l’apôtre saint Thomas.
—LXXX. Sur Osée épousant, par l’ordre de Dieu, une femme de mauvaise vie.
—LXXXI. Salomon jugé par les Écritures.
—LXXXII. Sens mystique de la vie des Patriarches. Abraham. Isaac. Jacob. Loth.
