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TABLE DES MATIÈRES.
—VI. Si le Christ n’est pas venu abolir la loi,
pourquoi les catholiques l’abolissent-ils en pratique ?
—VII. C’est la loi mosaïque que le Christ est venu, non abolir, mais accomplir.
—VIII. Les rites prophétiques cessent d’être observés, parce que leur but est rempli.
—IX. Pourquoi le chrétien n’observe plus la circoncision ni le sabbat.
—X. Pourquoi le chrétien n’observe plus la distinction entre les aliments, les sacrifices d’animaux, la pâque, etc.
—XI. L’avénement du Christ a mis fin à tous les rites qui l’annonçaient.
—XII. Les impies participent aux sacrements, mais n’ont point la charité.
—XIII. Sacrements de la loi nouvelle substitués à ceux de l’ancienne.
—XIV. Si les anciens justes ont souffert pour leur loi, à plus forte raison doit-on souffrir pour la nouvelle. La promesse de la vie éternelle déjà réalisée dans le Christ.
—XV. Questions diverses. Ce n’est point le moment de les traiter.
—XVI. Il a fallu des rites différents, un autre langage pour prophétiser ce qui devait arriver, et indiquer ce qui est accompli.
—XVII. À qui, parmi les premiers chrétiens, le judaïsme était encore permis, à qui il était défendu.
—XVIII. Ce que les chrétiens ont gardé de la loi ancienne.
—XIX. Erreur de Fauste sur ce point.
—XX. Ce n’est point la loi des anciens justes que le Christ est venu accomplir.
—XXI. La loi qui défend l’adultère était déjà complète chez les anciens justes.
—XXII. Et aussi celle qui défend de jurer. Le nom de Manès transformé par les Manichéens.
—XXIII. La loi qui défend le parjure n’a point été abolie.
—XXIV. Comment on peut tout à la fois haïr et aimer son ennemi. Système extravagant des Manichéens.
—XXV. La loi du talion en face de la doctrine évangélique.
—XXVI. Le divorce. L’acte de répudiation.
—XXVII. Quel est le véritable sens de ces paroles : « Je ne suis pas venu abolir la loi, mais l’accomplir ».
—XXVIII. L’Ancien Testament contenait déjà les perfectionnements introduits par le Christ.
—XXIX. La loi primitive du mariage. Bévue de Manès. Pourquoi Moïse permettait le divorce.
—XXX. Pourquoi le Christ est venu accomplir la loi. Les anciens justes en voyaient le but.
—XXXI. Le mot de « royaume des cieux » ne se trouve pas dans l’Ancien Testament, où néanmoins la foi à la vie éternelle est exprimée.
Chapitre premier. Fauste se propose de répondre au reproche d’adorer le soleil et d’être païen.
—II. Fauste fait sa profession de fui.
—III. Différence entre sa doctrine et celle des païens.
—IV. Ce n’est point le manichéisme, mais le catholicisme et le judaïsme, qui sont des schismes de la gentilité.
—V. Réponse d’Augustin. Le manichéisme est au-dessous même du paganisme.
—VI. Obscènes rêveries des Manichéens sur le soleil.
—VII. La lumière matérielle. La lumière de la raison.
La lumière divine.
—VIII. Ridicules contradictions de la doctrine manichéenne sur le Fils de Dieu.
—IX. Ce que les païens adorent, existe : ce que les Manichéens adorent, est pur néant.
—X. Différences entre les diverses religions, suivant
le point de vue où l’on se place.
—XI. Questions aux Manichéens sur Jésus passible. Absurdités de leur doctrine.
—XII. Pourquoi, d’après les Manichéens, le Christ
n’est-il pas multiple ? Pourquoi n’est-il pas tout ?
—XIII. Le pain et le vin. Combien les catholiques et les Manichéens pensent différemment là-dessus.
—XIV. Erreurs des Manichéens sur Hylé ou la matière.
—XV. Comment un manichéen s’imagine être le temple de Dieu.
—XVI. Le sacrifice intérieur selon la doctrine des Manichéens.
—XVII. Ce que c’est que la prière chez le manichéen.
—XVIII. Diverses espèces de sacrifices. Sacrifice du
Christ. Sacrifice des Manichéens.
—XIX. Les païens ont en l’idée d’un pouvoir divin unique, les Manichéens ne l’ont pas.
—XX. Ce ne sont pas les agapes chrétiennes, mais les sacrifices des Manichéens qui ressemblent à ceux des païens.
—XXI. Culte des martyrs différent du culte de latrie qui n’est dû qu’à Dieu. Le sacrifice eucharistique, mémorial de celui de la croix.
—XXII. Les sacrifices des Juifs différents de ceux des païens. Les démons se repaissent des erreurs humaines.
—XXIII. Dans l’usage des choses ordinaires de la vie, les Manichéens diffèrent beaucoup des catholiques et sont au-dessous même des païens.
Chapitre premier. Fauste veut prouver qu’il n’admet pas deux dieux.
—II. Comment Dieu peut aveugler les esprits.
—III. Dieu condamne et justifie par des voies impénétrables.
—IV. Quoi qu’il en dise, Fauste admet deux dieux.
—V. Dieu admirable dans ses œuvres grandes et petites. Tout animal aime sa propre chair. Illusion des Manichéens sur ce point.
—VI. L’ouvrier suprême démontré par ses œuvres.
—VII. La loi de la conservation est universelle.
—VIII. Sublime harmonie du corps humain, d’après saint Paul.
—IX. C’est Dieu, et non le démon, qui est l’auteur du corps humain.
—X. Réfutation ironique de l’opinion manichéenne sur les animaux.
—XI. Le blanc et le noir, le chaud et le froid. Contradictions
manichéennes.
—XII. Autres contradictions du manichéisme. Fables absurdes.
—XIII. Sur les aliments, le poison, l’antidote ; bévues de Fauste à ce sujet.
—XIV. Raisonnements sur la doctrine des deux principes.
—XV. Défaut de prescience et de sécurité dans le Dieu des Manichéens.
—XVI. Les deux natures des Manichéens sont ou deux biens ou deux maux. Démonstration par l’absurde.
