Mais veille à vos commencements et bride la nervosité. La belle humeur est la moitié du bonheur.
Dans un amour vécu sans en sauter, on reprend chaque jour des illusions qui sont la découverte des réalités douces. On en retrouve en pénétrant dans les couches du réel savoureux. La vie n’est plate, sans grain sous le doigt, elle n’est courante, sans accent, que pour les gâcheurs qui n’échangent que des débuts et que des apparences faute d’insister et par pauvreté d’esprit.
Les peuples heureux, dit-on, n’ont pas d’histoire. Il faut montrer celle des gens heureux et demander comment ils font.
Pour que le lien ne claque pas sous les saccades, les horions de l’adaptation, il faut tracer la conscience amoureuse que les peuples ont laissée au hasard.