Livre:Aurel - Le nouvel art d'aimer, 1941.djvu
Apparence
Titre | Le nouvel art d’aimer |
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Auteur | Aurel |
Maison d’édition | Presses universitaires de France |
Lieu d’édition | Paris |
Année d’édition | 1941 |
Bibliothèque | Bibliothèque nationale de France |
Fac-similés | djvu |
Avancement | À valider |
Pages
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TABLE
Pages
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Quelle indication puissante
Il y a mieux encore
Qui n’admet pas le miracle
Quant à Pascal
Invention constante du réel
Ne médisons pas de la passion
Pour inspirer ton instinct
Vertu communiante
Le familisme. Bienfaits de la ruine
L’amour c’est la marche à la perfection
Rien n’est jamais perdu
Un drame du mutisme
Toi, jeune femme
La peur du mot
L’amour veut qu’on demande
Nos vertus ne font pas peur à l’amour
Ce livre étant celui de l’absolu
La grâce ou la beauté ?
Et l’infirmière sans la grâce ?
Savoir remercier
Et rapprenez à la beauté. — Genre canaille
L’amour nous égalise toutes
Si tu veux la joie
Si tu ne trouves pas
Et vous garçons
Ne te compose pas
Et puis montons, jeunesse
Quant à réchauffer nos pauvres
Tu aimes comme tu travailles
Trois jeunes ouvriers délurés
Quant au relèvement économique
Les amants, l’émotion de la virginité
Les amants de la rue
Les amants sans logis
Les amants sans caresses
La fille sans mystère ou facile, écuelle de l’amour
Les amants sans preuves, Béatrice et Dante, Laure et Pétrarque
À la femme heureuse
Parmi les amants sans caresses, Fersen et Marie-Antoinette
La toilette de l’âme
Mais fonde-toi sur la bonté
Les amants qui vivent ensemble
La tragédie d’être jeunes
Les disciplines du bonheur
La grandeur aujourd’hui
La minute sacrée
L’absolu, c’est-à-dire le don total
Le garçonnisme à deux
Ne sabotons pas l’œuvre de chair
Et précisons
Résumons pour les jeunes
Tu es fort
Le choix
Une fille fière est-elle tombée ?
Veillons aux caractères, aux goûts
Et cela dit, ne traîne pas dans le grief
D’abord le bon repas
Ne troublez pas
Informe-toi, sois curieux
Quand vous aurez mis au monde l’amour
L’illusion
Jacques, Simone
À la mort de l’aimé
Reprendre conscience
Aie pitié, Simone
Tu crois tenir ton homme
Tu sais tout
Compassion pour la femme
Le loisir
Les Français
Pour t’égaler enfin
Divorces d’impatience
L’amour, création constante
Qu’il nous défende
Quant à vous femme heureuse
Ne fête pas mon ami
C’est la qualité d’âme
La Française
Séparation
Partager le travail des bras
Élevons nos enfants
Procédés. La familiarité
Et faites-vous un bon visage
Pour éviter la mésintelligence
Quand un malheur arrive
Que le mari se garde d’être le tâtillon
Toi le plus fort, gouverne ton humeur
Le traitement des femmes (Carlyle)
Toi mon amie, quand il rentre
Pourquoi il y a des Xantippe ?
Il y a pourtant des mégères
Le mari restant le chef de la paire
Le mariage d’esprit
Le devoir, terre inconnue
Pour se marier de cœur
Trompeur volé
Toi, belle épouse trompée
Et quand tu l’auras repris
L’adultère, Mathilde
Et si l’amant m’a donné un fils ?
Si tu l’apprends, toi mari juste
Égards pour la douleur
Laisse-lui l’influence
Les poètes de la Bible
Nous les assistants de la dernière heure
Ceux qu’on élève à tout entendre
Un moyen de culture
Éducation du caractère
L’examen de valeur, de volonté
Éducation de la simplicité
Et cette émulation d’honneur
Un désaccord ?
Préférences
La bête noire des familles
La fête que doit être le repas en famille
Les lectures pour vous, parents et pour eux
Nous devons aux enfants
Mais encore, disent les parents, que lui donner à lire ?
Et lisons nos grands poètes contemporains
Entre les poètes lyriques
Les jeux. Équilibrons-les
Le vice des sports
Spectacles
Parents, exigeons des éditeurs
Au nom de la famille
Si vous aimez l’enfance
Demandez au législateur
Pour la famille pauvre
Inspirez au législateur
Pour calmer l’appétit de beauté
Sans un jury mi-partie maternel
Partagez-vous parents, l’autorité
Sans Anne de Beaujeu
Si l’amour est la chose de la femme
La voix de la femme a été couverte
Que les fêtes nous servent
La tête de famille
Que le garçon de treize ans entende
L’heure sexuelle
Quand le fils a vingt ans
Pour toucher le ciel de l’amour
Et débarquons la femme
Servons-nous de nos artistes
Surtout ne craignons pas le grand
Sus au pessimisme fétide
Dans la douleur du deuil lui-même
La parenté. Les vieux
Grandeur des vieux
L’âge directorial
Soignons les parents et l’enfant d’abord
Cependant ne t’use pas trop
La toute-femme et Sévigné
Apprenons à nos fils
Le choix
Dans la chasse à l’amour
C’est pour quelques viveuses déchaînées
Ne crains pas de lui enseigner
Le logis des amours
Avant les noces
Les jeunes mariés vont partir
Et que la mère de Jeanne
Et l’habitude du mari ?
Il n’y a pas de génération consciente
Quelle émotion divine
Soumission au plus haut destin. Conditions du génie
La France est le peuple loyal
Les Assises de la famille
AUREL
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Le cœur n’a jamais plus de seize ans.
Pour le cœur jeune
de tous les fils de France
de ma race immortelle.
Aurel.