Page:Aurel - Les Jeux de la flamme.djvu/175

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qu’aimer est uniforme, étant complet, que c’est révolu, puisque c’est. Elle croit que tout le désordre et l’impureté des victoires gronde au centre de l’absolu, et qu’aux seuls agiles vient tout le dieu. Il croit que tout est survenu puisqu’ils s’aiment. Et dans sa surdité de foi ne passe plus le souffle de tourment qui malmène, qui sauve et qui varie le monde.

« Il est trop arrivé, dit-elle, il m’a trop méritée. »

Douce, elle quitte sa maison. Il était en retard, elle est partie.