Page:Austen - La Famille Elliot T1.djvu/209

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manière de cheminer, qu’elle s’imagina être le modèle de leur vie. L’amiral avait l’air d’abord de conduire, mais au moindre embarras il se laissait guider par sa femme, et s’en trouvait bien. Ils la déposèrent heureusement au cottage. Miss Alice les remercia, et rentra très-agitée. Frederich s’était occupé d’elle ; cette circonstance lui donna beaucoup à penser, et plus encore à sentir.



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