gez à ces beaux vers à mademoiselle. Mon Dieu ! que c’est beau ! Croyez-vous qu’ils aient été véritablement faits pour moi ? »
« Je ne veux faire aucune question, ni répondre à celles qu’on m’adresserait sur ce sujet. La chose est certaine. Rapportez-vous-en à mon jugement. C’est une espèce de prologue à la pièce, une sentence à un chapitre, et sera bientôt suivi d’un fait, la prose. »
« Personne ne s’y serait attendu : il y a un mois que je n’en avais pas moi-même la moindre idée ! »
« Les choses les plus étranges arrivent quelquefois ! »
« Certainement puisque mademoiselle Smith et M. Elton ont fait connaissance ensemble. La chose est arrivée, et réellement c’est fort étonnant. On trouve extraordinaire que ce qui est évidemment jugé désirable soit