Page:Austen - Orgueil et Préjugé (Paschoud) 3.djvu/165

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reux ! J’ai ignoré moi-même la vérité jusqu’au moment où j’ai été dans le comté de Kent, où j’ai beaucoup vu Mr. Darcy et son cousin le colonel Fitz-Williams ; et lorsque je revins à Longbourn, le régiment

    • devant quitter

Meryton quinze jours après, nous ne crûmes pas nécessaire, Jane et moi, de rendre public ce que nous avions appris. Quel avantage pouvoit-il y avoir à détruire la bonne opinion qu’on avoit de lui dans tout le pays ? et même, lorsqu’il a été décidé que Lydie accompagneroit Mistriss Forster, la nécessité de lui ouvrir les yeux sur le véritable caractère de Wikam, ne s’est pas présentée à moi ; l’idée qu’il pourroit chercher à la séduire ne m’étoit jamais venue dans la tête.

— Vous n’aviez, je pense, aucune raison de les croire épris l’un de l’autre, lorsqu’ils sont partis pour Brighton ?