et de Lady Anne, n’auroit pas paru convenablement d’une autre manière. Je le répète, je suis très-attentive à ces choses-là. Vous devriez envoyer John avec ces jeunes personnes, Mistriss Collins. Je suis bien aise d’avoir eu l’occasion d’en parler, car réellement vous auriez tort de les laisser partir seules.
— Mon oncle doit nous envoyer un domestique, dit Elisabeth.
— Ah ! votre oncle ! Il a un domestique homme ? Je suis bien aise que vous ayez quelqu’un qui pense à ces choses-là. Où changerez-vous de chevaux ? à Bomley sans doute. Si vous prononcez mon nom à la poste, vous serez vite servies.
Lady Catherine eut encore beaucoup de questions à faire sur leur voyage, mais comme elle y répondoit elle-même, il n’étoit pas nécessaire de lui prêter une attention bien soutenue ; c’étoit fort