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Le vent du soir passe et murmure,
L’arbre frissonne au bord du champ :
Les vieux débris, la vieille armure
Brillent aux flammes du couchant.
Il rêve, il sent couler ses larmes :
A-t-il bien là devant les yeux
Les grands squelettes et les armes
De ceux qui furent ses aïeux ?