Page:Avezac-Lavigne - Diderot et la Société du baron d’Holbach, 1875.djvu/16

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et se prolonge jusqu’en 1774, — malheureusement avec des lacunes qu’explique la présence presque continuelle de Sophie et de son ami à Paris, — constitue un ensemble de documents bien plus importants que tous ceux dont nous venons de faire mention. Aussi, nous servira-t-elle de guide en notre étude[1].


  1. Les lettres à mademoiselle Voland ont été retrouvées à Saint-Pétersbourg, et publiées pour la première fois en 1830 par Paulin, qui, en 1834, en a donné une deuxième édition. Elle porte le titre de Mémoires, Correspondance et Ouvrages inédits de Diderot.