Page:Avezac-Lavigne - Diderot et la Société du baron d’Holbach, 1875.djvu/52

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thrope, et qu’une fatale passion lui fît oublier les plus simples devoirs de l’amitié et de la reconnaissance. Il fut perdu, dès qu’il eut accepté de madame d’Épinay la retraite qu’elle lui offrait à l’Ermitage. Diderot, pressentant que la solitude devait avoir sur lui la plus fâcheuse influence, essaya tous les moyens pour l’en faire sortir. Malheureusement chaque tentative le rendait encore plus ombrageux.