Aller au contenu

Page:Bégis - Instruction libertine, 1860.djvu/121

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
111.

celui qui la caresse si bien elle-même. Le tout se termine par une décharge réciproque et délicieuse que les amants échangent dans leurs mains avec une grande satisfaction.

Indépendamment des branlades il y a d’autres façons de se donner réciproquement du plaisir entre homme et femme sans l’introduction du vit que redoutent quelques femmes qui n’ont même pas confiance dans la redingote anglaise ou ruban, ni dans la petite éponge, et encore moins dans l’engagement que prendrait un amant de se retirer à temps pour ne pas décharger dedans.

Ces façons sont les gamahuchades, nom qu’on donne à l’action de se chatouiller avec la langue, et sucer les parties sexuelles de la femme ou de l’homme.

En voici la description.

III. La Gamahuchade tête-bêche.

La femme se couche le dos sur le lit, les cuisses écartées, les genoux relevés, l’homme monte sur elle à l’envers à cheval, il se met à genoux la tête de la femme entre ses cuisses, il s’étend les coudes appuyés sur le lit du côté des hanches de la femme, et la figure entre les cuisses relevées de cette dernière,