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Page:Bégis - Instruction libertine, 1860.djvu/122

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112.

sous les fesses de laquelle il passe ses mains pour écarter les grandes lèvres du con et y porter sa bouche, il met sa langue sur le clitoris et l’y fait frétiller, il la plonge même dans l’intérieur aussi avant qu’il peut, il suce le clitoris, pendant que du doigt indicateur dans le con, et du doigt du milieu dans le cul, il pousse en avant et en arrière, et que de son autre main il careſse et parcourt tous les environs. La femme de son côté ne reste pas oisive, elle met d’une main dans sa bouche le vit de son amant, le mordille, le suce, promène sa langue sur le filet qu’elle a tendu en décalottant le vit fortement vers sa racine, de son autre main elle chatouille, caresse, presse et tapote les couilles, la partie du vit qui n’a pu entrer dans sa bouche, le poil, le périnée, le trou du cul dans lequel elle fait entrer un doigt mouillé, les fesses qu’elle flatte et claque doucement. Ces caresses se continuent jusqu’à l’approche du souverain plaisir, lors duquel la femme semble vouloir avaler le vit, tant elle se l’enfonce dans la bouche en le suçant, tandis que l’homme parait vouloir mettre sa figure entière dans le con et manger le clitoris de sa belle, tant il s’enfonce dans l’un, et attire l’autre par la succion. Aussi, chacun des amants reçoit dans