Page:Bérard - Un mensonge de la science allemande, 1917.djvu/89

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pas dans d’Aubignac : on peut montrer que les Conjectures disent tout justement le contraire, et d’une façon si claire que le lecteur le moins attentif ne saurait s’y tromper, et en des passages que Wolf dit avoir lus, qu’il a lus en effet, puisqu’il y fait des emprunts inavoués. Il n’y a donc pas eu ignorance de la part de Wolf : peut-on croire qu’il y a eu méprise ?... Je crois qu’en vérité, il y a eu, — alea jacta est, comme il dit lui-même, — falsification de textes et faux proprement dits.