et, quoique notre vie soit semée de petits chagrins et contretemps que Dieu nous ménage dans sa miséricorde, quels sont ceux plus heureux que nous et qui doivent plus à la divine Providence. Si nous sommes particulièrement favorisés, nous devons être particulièrement reconnaissants. Rendons-nous dignes des bontés de Dieu et prions-le de continuer de répandre ses bénédictions sur nous, sur nos chers enfants, et sur notre famille en général. »
Belle prière, qui a été entendue du haut du ciel et qui déjà a produit ses fruits pour un bon nombre d’entre vous !
Le cours d’économie politique que votre père a suivi pendant les quatre années qu’il fut au parlement, cours bien trop long à son avis m’a fait passer par-dessus certains événements que je dois relater.
Le 16 de décembre 1831 naquit votre frère Raymond.