les affections propres aux guerriers qui s’animent à la vue de l’ennemi et ne voient dans le combat qui s’approche que l’espérance de la victoire, excitant dans leurs esprits une chaleur salutaire, et donnant à tous leurs organes plus de ton et de ressort, et contribuent ainsi à la prolongation de la vie.
Jusqu’ici la médecine n’a presque envisagé que la conservation de la santé et la guérison des maladies ; elle traite rarement de ce qui concerne la prolongation de la vie, et n’en parle, pour ainsi dire, qu’en passant. Cependant nous croyons devoir indiquer les seuls médi-
- ↑ Note WS : ce chapitre répond, en fait, au thème de recherche n° 9.
qui s’est placé si haut, qu’il n’est plus le maître de descendre et ne peut plus que tomber. Entouré de précipices il sent que, pour peu qu’il fasse un pas, il est perdu ; et, sous peine de mort, il faut qu’il reste là.