Page:Bacon - Œuvres, tome 10.djvu/202

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les affections propres aux guerriers qui s’animent à la vue de l’ennemi et ne voient dans le combat qui s’approche que l’espérance de la victoire, excitant dans leurs esprits une chaleur salutaire, et donnant à tous leurs organes plus de ton et de ressort, et contribuent ainsi à la prolongation de la vie.

Substances qui contribuent à la prolongation de la vie.
Article répondant à la dixième question[1].

Jusqu’ici la médecine n’a presque envisagé que la conservation de la santé et la guérison des maladies ; elle traite rarement de ce qui concerne la prolongation de la vie, et n’en parle, pour ainsi dire, qu’en passant. Cependant nous croyons devoir indiquer les seuls médi-


    qui s’est placé si haut, qu’il n’est plus le maître de descendre et ne peut plus que tomber. Entouré de précipices il sent que, pour peu qu’il fasse un pas, il est perdu ; et, sous peine de mort, il faut qu’il reste là.

  1. Note WS : ce chapitre répond, en fait, au thème de recherche n° 9.