Page:Bacon - Œuvres, tome 9.djvu/34

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au contraire un bienfait ; la meilleure réponse que nous puissions faire à de telles censures, c’est d’en profiter, et d’employer à nous corriger de nos défauts, le temps que d’autres perdent à prouver qu’ils n’en ont pas.

Nous croyons devoir un remerciement public et direct au citoyen Guiraudet, Préfet du Département de la Côte-d’Or, ainsi qu’au citoyen Berthet, sous-Préfet à Semur, pour les encouragemens qu’ils ont pu et même pour ceux qu’ils ont voulu nous donner ; remerciement qui s’adresse indirectement à l’autorité supérieure dont ils ont dû suivre les intentions.

Nous devons dire aussi que nous avons tiré beaucoup d’éclaircissemens nécessaires du citoyen Raymond, de Semur, bon praticien en médecine, et botaniste estimé, qui a bien voulu nous communiquer ses lumières, et nous épargner des recherches indispensables.

Nous avons oublié de dire que le citoyen Bruzard, ainsi que le citoyen Berthier (conservateur de la bibliothèque nationale à Semur), et les citoyens Raymond (père et fils), nous avoient aidés à revoir les feuilles mêmes des deux premiers volumes de lu première livraison, et la première co-