Page:Badin - Une famille parisienne à Madagascar avant et pendant l’Expédition, 1897.djvu/279

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Le premier mouvement de Marguerite et du Capitaine en se retrouvant l’un en face de l’autre, fut un vif mouvement de surprise ; il semblait qu’ils eussent eu quelque peine à se reconnaître. Très crâne dans son veston à trois galons d’or, sa belle croix toute neuve sur la poitrine, Georges Gaulard ne rappelait guère le moribond qui, cinq mois auparavant, avait été apporté, inerte comme un colis,