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Page:Badin - Une famille parisienne à Madagascar avant et pendant l’Expédition, 1897.djvu/61

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Malgré l’improvisation de l’installation, la nuit fut assez bonne et se passa sans autre incident que l’invasion d’une nuée de moustiques, maringouins et autres bestioles du même genre.

Dès le lendemain, par l’intermédiaire de celui de ses Comoriens qui parlait français et qui avait été promu en conséquence à la dignité d’interprète, Michel traita définitivement de la location des deux cases qu’il occupait avec sa famille et ses bagages. Il put alors procéder à des arrangements un peu moins provisoires. Des fumigations répétées eurent pour effet de relancer jusque dans leurs repaires les désagréables insectes qui y tenaient garnison ;