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Page:Baillehache - Souvenirs intimes d'un lancier de la Garde impériale, 1894.djvu/320

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CHAPITRE VII

Pages.
Le major de Paderborn. — Nous sommes envoyés à Münster. — Notice historique sur cette ville. — Le traité de Westphalie, 1648. — Le coq du bourgmestre et coutumes allemandes. — Le major Flotow et les lettres des officiers prisonniers.-Un volontaire d’un an hanovrien. — Manière dont furent traités les prisonniers. — Réponse de l’Empereur à nos. vœux pour le 1er janvier 1871. — La paix est signée. — Une dépêche de M. Jules Simon. — Nous sommes rendus à la liberté. — J’arrive à Paris dans la nuit du 17 mars. — Aspect de la capitale. — Ma joie de revoir mes parents. — La révolution du 18 mars. — Assassinat des généraux Clément Thomas et Lecomte. — Mon père quitte Paris. — La garde nationale à la gare Montparnasse. — La gendarmerie à la gare de Meudon. — Entretien de mon père avec M. Dufaure à Versailles 
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CHAPITRE VIII


Maintenon. — Un souvenir de 1830. — Henri de Pêne et la manifestation de la place Vendôme. — Je quitte cette ville pour rejoindre à Lyon le dépôt de mon régiment. — L’émeute du 30 avril à la Guillotière. — Je suis envoyé à Tours et de là à l’armée de Versailles. — Le 3e conseil de guerre à Versailles. — Les pétroleuses à la prison des Chantiers. — Suppression des lanciers. — Quelques mots sur le rôle de cette arme de 1814 à 1871. — Mon régiment devenu 20e dragons va tenir garnison à Provins. — Les corps d’officiers à cette époque. — Les officiers attaqués en sortant de la pension par les communards. — Les Prussiens à Sézanne. — Manifestation bonapartiste au 15 août. — Conclusion. 
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