Page:Baillet - La Vie de monsieur Des-Cartes, seconde partie.djvu/8

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TABLE

Chap. IV. Mort du Mathématicien Hortenſius avec une remarque de M. Deſcartes ſur ſon Horoſcope. Mort d’Élichman & du Philoſophe Campanelle. Jugement que M. Deſcartes faisait des écrits & de l’eſprit de ce dernier. Origine des troubles excitez dans l'Université d’Utrecht, au sujet de la Philoſophie de M. Deſcartes, par Giſbert Voetius. Hiſtoire de cet homme, ſon portrait. Jugement des Sçavans ſur ſon eſprit, & ſes écrits. Moyens dont il ſe ſert pour attaquer la Philoſophie de M. Deſcartes. Ses thèſes touchant l’Athéïſme.
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Chap. V. M. Régius prend des précautions contre la mauvaife humeur de Voetius e^uil avoit k ménager. Préjudice cfuil fait a fa perfonfie, & a la Philofophie Carte fenne dans fes leçons problématiques de Phyfique. Son indifcrétion a une théfe des Péripatèticiens, Amis que M. Defcartes avoit a Vtrecht. Il inflruit Régius fur divers points de Phyfique. Son fentiment fur la circulation du fang. Ingratitude & malhonnêteté de Plempius a l'égard de M. Defcartes, qui la fonffre plus patiem^ ment que Régius. Il tâche de fe retrancher touchant le commerce des lettres ^ pour fe procurer plus de retraite & de repos j mais ce fut en vain. Le P. Merfenne lui envoyé le traité des Coniques de M. Pafcal le jeune. Jugement qu’il en ^t.
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Chap. VI. Traité de M. des Argues touchant les SeÛlons Coniques, Avis que luy donne M. Defcartes touchant fon deffein. Différence de la manière d^ écrire pour les Curieux dtavec celle d^ écrire pour les Sçavans^ eu pour les gens de la Profeffion. Ouvrage de Ai. Mydorgè fur les Serions Coniques. Continuation de cet ouvrage. Obfervations de M. de Be aune fur les lignes courbes, & autres que fiions qu il propofe a M, Defcartes. Infiances qu’il luy fait, mais en vain, pour publier fon Monde. Mauvaife fanté de M. de Beaune. Il travaille aux lunettes fur les inftru^ions de M. Defcartes, qui ejpére plus de luy que de M. du Maurier.
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Chap. VII. M. Defcartes fe rapproche de fes amis d’Vtrecht, & vient demeurer prés de cette ville ^ puis a Leyde. Eflime quon faifoit de luy dans l’ZJniverfté de Leyde. Son amitié avec Heydanus & Rivet. Eloge du premier qui prêche a. la Carte fienne. CaraSlére de rejprit du fetond. Impreffion d’un livre anonyme contre M. Defcartes faite fans fuc~ ces. Accidens arrivez, en Hollande au commencement de l’année KJ40. Hifioire dt une famé ife gageure de Mathématique entre Stampieen & Waeffenaer, ou M. Defcartes fe trouve mêlé. CaraSlére de l’efprit de Stampire î qui perd la gageure. Deffein d’un voyage de M. Defcartes en France différé, puis rtmpu.
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Chap. VIII. L’efprit de Voetius s’aigrît contre M. Defcartes & M. Régius y au fujet des théfes de ce dernier touchant le mouvement du caur & la circulation du fang. M. Defcartes corrige ces théfes, & veut bien y affifter, pourvu que ce foit dans l'Écoute de Mademoifelle de Schurmans. Eloge de cette Demoifelle, dont le coeur eft gâté par Labadie, & l’esprit par Voetius : par le prémier, fous prétexte d’une plus grande réformation ; par le fécond, fom prétexte de s’enfoncer dans les controverfes de la Théologie. Primer o/e & S ilvins réfutent les ihéfes de Aï. Réçius, aui fe défend. Ordonnance des Curateurs de VUniverfité d^Utrecht^ à laquelle M. Defcartes fait une explication en forme de Répenfe.
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