1066. Sañjaya dit : Cependant la multitude des hommes étant retournée (au combat), le roi des troupes barbares, le Çalvien, irrité, attaquait la grande armée des Pândouides,
1067. Monté sur un très grand éléphant en rut, farouche, pareil à une montagne, broyant les troupes ennemies, semblable à Airâvata (l’éléphant d'Indra).
1068. Cet (éléphant), issu d’une noble race, constamment honoré par les Dhritarâshtrides, bien préparé par les gens au courant des décisions et des préceptes (en cette matière), dut toujours être employé (quand il fut question de) guerres, ô roi.
1069. Le meilleur des rois l’ayant monté, ressembla au soleil à la fin de la nuit, quand il se tient au-dessus des montagnes de l’est. Avec cet excellent éléphant, ô roi, il marcha contre les fils de Pândou réunis.
1070. Il déchira (les ennemis), avec des flèches aiguës.