Page:Balzac - Œuvres complètes, éd. Houssiaux, 1855, tome 19.djvu/115

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VAUTRIN.

Chez vous, monsieur le duc, laissez passer la justice du roi. C’est une affaire entre ces messieurs et moi. (Au commissaire.) Je vous suis. (À la duchesse.) C’est Joseph qui les amène, il est des nôtres, renvoyez-le.

RAOUL.

Sommes-nous séparés à jamais ?

VAUTRIN.

Tu te maries bientôt. Dans dix mois, le jour du baptême, à la porte de l’église, regarde bien parmi les pauvres, il y aura quelqu’un qui veut être certain de ton bonheur. Adieu. (Aux agents.) Marchons !

FIN DE VAUTRIN.