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SARPI., à Avaloros.
Il se moque de nous ! il serait bien autrement sérieux.
QUINOLA.
Je n’aurai sans doute les deux mille écus d’or qu’après la signature du traité ?
SARPI., vivement.
Tu peux les avoir auparavant.
QUINOLA.
Bah ! (Il tend la main.) donnez !
AVALOROS.
En me signant des lettres de change… échues.
QUINOLA.
Le Grand Turc ne présente pas le lacet avec plus de délicatesse.
SARPI.
Ton maître a-t-il son vaisseau ?
QUINOLA.
Valladolid est loin, c’est vrai, monsieur le secrétaire ; mais nous y tenons une plume qui peut signer votre disgrâce.
SARPI.
Je t’écraserai.
QUINOLA.
Je me ferai si mince que vous ne pourrez pas.
AVALOROS.
Eh ! maraud, que veux-tu donc ?
QUINOLA.
Ah ! voila parler d’or.
Scène IV.
Les précédents, FAUSTINE et PAQUITA.
PAQUITA.
Messieurs, voici Madame.
Scène IV.
Les précédents, moins PAQUITA.
QUINOLA, va au-devant de la Brancador.
Madame, mon maître parle de se tuer s’il n’a son vaisseau que le comte Sarpi lui refuse depuis un mois ; le seigneur Avaloros lui